Revue de Presse

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Evidemment, c'est le genre de page où on ne dit que du bien...
Pourtant, et c'est sincère, la vérité vraie, que dire, diantre, palsambleu, nous n'avons subi à ce jour que de bonnes, voire excellentes critiques. Alors promis, juré, dès qu'il y en aura une mauvaise, elle sera sur cette page, encadrée !

Et pour ne pas alourdir ces lignes avec des "dialogues inoubliables, les deux interprètes excellent, textes originaux hilarants, rejetons de Boby Lapointe et de Pierre Dac, la plus pure tradition, etc, etc"... nous n'avons sélectionné que deux articles, qui permettrons - en outre (ou en septembre) - de se faire une idée du spectacle.

Ce furent les deux premiers, et bien d'autres suivirent, de Perpignan à Paris en passant par Avignon, et de Madrid à Bruxelles...

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"C'est l'histoire de deux copains qui tombent amoureux des mots de Pierre Dac, de Francis Blanche ou de Boby Lapointe. Qui écoutent Brassens et les Frères Jacques, Audiard et Prévert.

Deux copains qui aiment rire, mais que tout absurde interpelle. Ces grands bousculeurs de mots, emprunteurs respectueux et plagiaires jubilants ont mis au point un numéro de duettistes qui fait appel à toutes les facettes du music-hall : textes, sketches, chansons, avec un accent spécial sur l'humour grinçant et sur les associations insolites.
On rit beaucoup, parfois un peu jaune il faut le dire, et l'on s'abandonne à la saveur des mots qui jouent, des mots qui parlent plus qu'ils ne disent, avec cette grâce d'extrême lucidité et de fraîcheur qui s'appelle la jeunesse, avec cette force de conviction qui s'appelle le talent."

L'Indépendant

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"Pour donner le ton du spectacle, il faut rappeler que l'un des slogans rassembleurs de Pierre Dac en 1965 est "Les temps sont durs, vive le MOU (Mouvement Ondulatoire Unifié).

Le Parti d'En Rire véhicule la même dose d'optimisme sarcastique [...] Décalés, sans message, les deux compères naviguent dans un univers que n'aurait pas non plus renié Pierre Desproges. Ils s'amusent sur scène et amusent la salle en suggérant au deuxième ou troisième degré ou de force."

La Semaine du Roussillon